lettre à M.S

Chère Maitresse,

Une fois de plus, je me trouve dans ma chambre d’hôtel à penser à vous.

Aujourd’hui j’ai décidé de me préparer pour notre prochaine rencontre.

Le moment venu, je tiens à être prêt. Je décide donc de m’épiler intégralement le sexe, les testicules et le sillon fessier. Ne l’ayant pas fait depuis presque 2 mois, je préfère utiliser de la crème dépilatoire plutôt que de m’offrir une séance chez mon esthéticienne habituelle.

Après que la crème ai fait son travail et ces poils inutiles disparus, je pratique un gommage de la zone épilée afin de nettoyer ma peau en profondeur et d’obtenir un résultat optimal.

La suppression de mes poils à cet endroit de mon anatomie, que personnellement j’estime vraiment inutiles, représente pour moi une forme de soumission à votre égard. C’est un sentiment de m’offrir à vous dans le plus simple appareil sans barrière et protection. J’espère vraiment que vous partagez mon opinion à ce sujet.

La partie esthétique étant réalisée, je me prépare maintenant à une dilatation grâce à un anus piquet que je vais laisser durant la durée du diner au restaurant de l’hôtel.

Afin de compléter ce sentiment de soumission, j’enfile mon shorty en latex et fini de m’habiller.

Une fois à table, le fait de s’asseoir augmente la pénétration de ce Plug, somme toute pas très gros, mais assez long pour venir me titiller la prostate et générer une envie d’uriner.

Le restaurant est quasi-vide, seul la serveuse me voit, et je ne pense pas qu’elle se doute de quoi que ce soit……dommage !

Après un apéro et un verre de vin, la sensation d’uriner fait son bout de chemin, je décide donc de me laisser aller.

Ayant déjà fait une expérience similaire, je sais qu’il n’est pas facile de faire le cul sur une chaise.

Après une longue concentration, je sens mon urine se déverser dans mon shorty en latex, qui est presque totalement étanche mais pas entièrement, c’est pourquoi, je maitrise cela afin ne pas inonder mon jeans et la chaise sur laquelle je suis.

La fin du repas approchant, je pense à mon retour en chambre, où je vais me masturber copieusement en pensant à vous, Maitresse.

Une fois tout cela terminé, je fais un brin de toilette et décide de me mettre à mon ordinateur pour vous narrer ce récit.

J’espère que cette confession aura attirée votre attention, voir procurée un moment de plaisir.

Dans l’attente de vous revoir, respectueusement votre, emmanuel.